Maladie d’Alzheimer : Décryptage, compréhensions et solutions

Publié par FF800060 le

La maladie d’Alzheimer : Décryptage, compréhensions et solutions

Avec ce nouveau décryptage, j’aborde une pathologie complexe, multi factorielle et avec un impact biologique multi organique.
Cette pathologie, disons-le, fait peur à beaucoup. Peur aussi bien, pour soi, de déclarer cette maladie, mais également peur de subir, en tant qu’accompagnant, aidant et famille, la réalité de la complexité quotidienne d’être en lien et en contact avec ces personnes qui ne sont plus celles qu’elles étaient quand elles étaient en santé.

Mais des solutions existent. Malheureusement et à mon grand désarroi, elles ne sont que trop rarement énoncées et proposées par le corps médical qui a autorité dans notre pays et dans le monde en matière de santé (par exemple, 99,6% des pistes présentées par l’industrie pharmaceutique ont été des échecs, peut-être ne cherchent ils pas au bon endroit, et que ce qui fonctionne ailleurs ne fonctionne pas ici). Ce corps médical qui agit de façon schizophrénique et aliéné. N’ayez pas peur des mots, je vais vous expliquer. Schizophrénique vient du grec schyzos, qui veut dire fendre, couper en deux car l’autorité médicale a tendance à couper, rompre le lien entre corps et l’esprit, ce qui entraine une aliénation, c’est à dire une absence de lien. D’ailleurs, les personnes atteintes de cette maladie d’Alzheimer se retrouvent sans liens et coupés de cette relation au corps et à l’esprit et également du monde qui les entoure. Ce qui amène une grande difficulté et une absence de solutions de la part de nos garants en santé et maladie que sont les médecins. Mais maintenant que nous sommes arrivés à ce triste constat, réfléchissons, pour trouver des solutions.

Alzheimer, une pathologie de société

Toute pathologie, toute maladie est une réponse à une question que nous ne nous sommes jamais posés. Ces paroles prennent tout leur sens lorsque nous amenons réflexion à une échelle plus large. Mise à part des exceptions extrêmement rares, cette pathologie atteint les personnes qui sont dans le troisième voire quatrième âge.

Tout le monde connait quelqu’un qui a réchappé au cancer, mais personne ne connait qui que ce soit ayant réchappé à Alzheimer. C’est l’une des premières citations dans le livre de Dale Bredesen – La fin d’Alzheimer (éditions Thierry Souccar). Constat amer, et pourtant j’ai envie de dire, les solutions sont là, et son livre et ses recherches le prouvent, j’y reviendrai plus loin.

J’énonce cette maladie comme une pathologie de société car avant l’avènement de l’ère post 2ème guerre mondiale et de l’accaparement de nos vies par le complexe militaro industriel, les firmes pharmaceutiques et agro-alimentaires, cette pathologie était rare voire quasi inexistante. Depuis notre ère post moderne, soit disant issu du génie évolutionniste cherchant à répondre chimiquement à un problème, le nombre de cas augmente de façon croissante voire exponentielle pour certaines catégories de personnes.

Les premières questions que j’aimerai poser sont : quel poison nous entraine au déclin? Que faisons nous de nos vieux ? Et comment vivent-ils de nos jours ?
Je ne vais amener aucun jugement, je laisse cela entre les mains du divin et de cette force incroyable de la magie de la vie qui nous dépasse, et je dirai que rien n’est bon, rien n’est mauvais, tout est juste, mais il faut tirer enseignement de nos expériences, sinon nous sommes voué à involuer (comme nous l’amène cette maladie) et non à évoluer.

Nos ainés, nos « vieux » (sans péjoration) en plus de tous les empoisonnements connus et insidieux, sont isolés, seuls, perdus, en perte de lien et de sens. Pour les familles, ils sont une charge car leur autonomie diminue, pour l’état, le vieux est un boulet qui coute cher, pour les actionnaires de maison de retraite, ils sont une manne financière importante pour prospérer sur le dos du malheur de nos ainés, donc les maintenir en vie même en mauvaise santé est rentable. Tout le monde n’est pas perdant dans cette histoire mais les grands gagnants ne sont pas toujours ceux qui sont les honnêtes. Le perdant est celui qui subit.

L’une de mes premières réflexions viendrait de l’évolution sociale qui a éclaté les familles. Les enfants sont loins (souvent pour raisons professionnelles) ou n’ont pas envie de garder dans leur maison leurs ainés (ce qui peut se comprendre), mais il existe également des tensions et des éloignements dans les familles, isolant de ce fait certains membres du clan. En discutant avec une étudiante burkinabaise à propos de cette maladie, il y a un triste constat de la réalité chez nous, car les ainés en Afrique, pour la très grande majorité, vivent avec leurs enfants, leurs petits enfants et même leurs arrières petits enfants, ce qui leur donnent une interaction, une mobilisation cérébrale, un contact, et une joie que nous ne trouvons plus chez les ainés de nos sociétés occidentales. Cette manière de vivre est une solution et non LA solution, mais cela peut être une piste.

Témoignage : un cas révélateur

J’ai un autre exemple, résultat de la folie covidiste que nous avons eu à subir qui peut amener un déclin cognitif. Lorsque j’étais encore masseur-kinésithérapeute, en avril 2021, soit un an post confinement (qui a été délétère et toutes les études à ce jour le prouvent), Madame B, 85 ans, encore autonome, indépendante et sans déclin cognitif la dernière fois que je l’avais vu en Février 2020, revient au cabinet pour sa séance hebdomadaire qu’elle avait suspendu car une peur avait été installée dans son esprit par l’état et sa famille concernant les lieux de soins comme le mien (peur du au danger de la circulation du virus). Voyant que certaines choses avaient changé chez elles et notamment une partie de ses capacités cognitives, je lui pose une question en lien avec e que nous avions évoqué en séance : Je sens que vous n’avez pas l’air bien, vous manque -t-il quelque chose ? Sans réponse de sa part, j’amorce une action en fonction de mon ressenti en lui disant : Venez dans mes bras, je vais vous faire un câlin. Elle accepte avec joie tout en pleurant à chaudes larmes. Elle me sert si fort que j’en suis surpris dans un premier temps et choqué dans un deuxième suite à ses paroles. En effet, avant Mars 2020, cette dame avait toujours de la visite, de la part de ses enfants et petits enfants, elle avait très régulièrement une présence chez elle, elle était aidée dans les taches de la vie quotidienne mais depuis Mars 2020, plus d’enfants, plus de petit enfants, plus de présence dans la maison et les courses étaient déposées sur la pas de la porte sans aucun contact physique et les échanges vocaux er verbaux se faisaient par porte interposée. Elle était seule, isolée, avec un sentiment d’abandon, de rejet, des repères spatiaux éclatés car elle ne sortait plus de chez elle et des repères temporels perturbés car seule, le temps est long. Tout était en place pour amener un déclin cognitif. Pensant faire le bien pour ma patiente, tout son entourage qui l’aimait, était entrain de la tuer à petit feu en passant par la porte déclin cognitif. Causalité n’est pas corrélation et vice-versa, mais la synchronicité pose question.
Cela a été un choc pour moi, et j’ai eu l’impression, juste par ce câlin et cette considération profonde qui m’anime, que mon prochain n’est pas un danger et n’est pas en danger, d’avoir éteint temporairement l’incendie qui avait été allumé.

Décryptage bio-médical de la maladie d’Alzheimer

Tout comme beaucoup d’autres pathologies, la cause multi organique et multi systémique rend le chemin de la guérison plus sinueux et complexe qu’une atteinte mono organique. Afin de coller à la biologie et à la psycho biologie, en lien avec l’évolution et le vivant, je vais décrypter plusieurs organes issus de différents systèmes. Cette réflexion m’a été amenée par mon ami Stephan Poirrier lors d’un de ses nombreux enseignements. En y associant sa réflexion et mes recherches, voici ce que nous pouvons poser à ce jour.

Les canaux collecteurs des reins

Ils sont issus du Système urinaire, dont le verbe est Uriner. Le verbe des reins est Contrôler, celui des canaux est Canaliser. Les canaux collecteurs vont canaliser les liquides et les substances qu’ils ne réabsorberont pas et qui seront éliminés. Nous pouvons définir le conflit biologique de la sorte : mon monde s’écroule, je perds mes repères, je suis seul au milieu de rien, je perds le contrôle, je ne peux canaliser ce qui m’arrive. Lors de l’atteinte des canaux collecteurs au niveau des 2 reins, la personne va se retrouver en sidération, elle va être en inhibition de l’action, sans pouvoir agir, ni dans la fuite, ni dans le combat (voir les travaux d’Henri Laborit), ce qui est le plus dangereux pour le cerveau.

Les glandes surrénales

Elles sont issues du Système endocrinien dont le verbe est Exciter. Lors de situations traumatiques que l’on ne souhaite pas répéter, on va diminuer l’excitation, on va mettre en mode hypo les glandes, on va donc ralentir.
Le conflit biologique sur ces glandes va être le conflit du mouton. Lorsque le mouton perd son troupeau, au lieu de courir partout et de s’épuiser, risquant de mourir, sa solution est de s’arrêter, de ne plus bouger afin de saisir une information qui indique la bonne direction pour retourner auprès de celui-ci.
Généralement, nous pouvons définir ce conflit comme le fait de ne pas avoir été capable de prendre la bonne direction (réelle, virtuelle, symbolique, imaginaire), d’avoir été mis à l’écart.

La thyroïde

Elle est également issu du Système endocrinien dont le verbe est Exciter. La thyroïde est l’organe du temps. Elle gère l’urgence face aux problématiques. Dans notre problématique, il s’agit d’un sentiment d’impuissance de ne pouvoir agir assez vite face à un danger, il faudrait faire vite mais personne ne fait rien. Il va falloir ralentir l’adaptation à une situation. La vitesse a été un élément central de stress.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur la thyroïde, je vous laisse consulter mon article : En retard en retard, j’ai rendez-vous quelque part (https://www.sebastienmoret.com/2024/11/28/en-retard-en-retard-jai-rendez-vous-quelque-part/).

L’épiderme

L’épiderme fait parti du Système tégumentaire dont le verbe est Toucher – Contacter.
Que vient faire l’épiderme dans l’atteinte lors d’Alzheimer, et toutes les problématiques de démence en général ? L’amorce de la mémoire n’est pas dans le cerveau elle est dans un premier temps au sein de chaque cellule, et encore plus au sein des cellules du système tégumentaire. C’est le fait de toucher, ce sens primordial qui va être le lieu de la mémoire. Le contact est primordial, même vital. De manière archaïque, la perte de contact physique dans la nature est très grave, elle met la vie en danger. Le système tégumentaire est notre contact avec le monde extérieur, avec le monde social, le monde du père. La perte de contact occasionne une séparation. La peur d’être séparé, la peur de ne plus avoir de contact peut mettre dans des troubles cognitifs et mémoriels important et extrême.

En résumé

La sidération face à une situation (de ressenti) d’abandon, où j’ai été mis à l’écart, dans une situation de séparation (d’absence de contact) avec une difficulté temporelle va être la combinaison parfaite pour être à l’origine d’une pathologie comme la maladie d’Alzheimer.

Le protocole du Docteur Dale Bredesen : réparer la toiture.

J’aime beaucoup les travaux de Dale Bredesen et son protocole Re-Code. Je ne vais pas  vous l’expliquer mais ressortir les grandes lignes de ce que j’en ai compris et qui sont somme toute logique.
Il a écrit trois livres : La Fin d’Alzheimer, Le programme Re-Code, Les premiers survivants d’Alzheimer (aux éditions Thierry Souccar). Ces travaux devraient être enseignés dans toutes les facultés, mais son approche dérange (peut-être parce qu’elle soigne et guérit). Bien évidemment, il se base sur des faits scientifiques et la « vraie » science est l’art de remettre en permanence les choses en questions.

Ce que j’ai aimé dans sa compréhension, c’est qu’il compare Alzheimer a une toiture. Il dénombre une trentaine de facteurs facilitant cette pathologie. Si chaque facteur est répondant donc allumé, c’est comme si nous avions un trou dans notre toiture. Ce trou peut être plus ou moins grand en fonction de l’avancée et de la fragilité de ce facteur. Plus il y a de facteurs de risque allumé, plus il peut y avoir de trous, plus ou moins grands dans la toiture. La médecine cherche un médicament pour Alzheimer, mais c’est comme si elle cherchait à boucher un trou sans s’occuper des autres, donc dans l’image décrite, il y a toujours inondations dans la maison alors qu’il pleut. L’objectif n’étant pas non plus de mettre des seaux sous les trous, ce qui ne répondrai pas à la problématique et reviendrai à mettre un pansement sur une jambe de bois, via son protocole, il préconise de réparer la toiture en réduisant l’impact des différents facteurs de risques.

Cela passe aussi bien par un sommeil de qualité, qu’une refonte complète des comportements alimentaires et notamment la suppression de quantité importante de poisons ingérés via une alimentation de très mauvaise qualité, mais aussi par un rééquilibrage hormonal et en vitamines, que par une mise en place d’activité physique régulière. Soigner les intestins, pour lui, est également primordial, la lutte contre les différents stress et l’inflammation chronique va être vitale. D’ailleurs, Otto Warburg (prix Nobel en 1931) disait : nul cancer, nul pathologie ne peut se développer dans un milieu alcalin (pH > 7), il faut un milieu acide donc inflammatoire pour développer une pathologie. Vous savez ce qui vous reste à faire pour assurer votre santé et non vous occuper de vos maladies. Alcaliniser votre corps et vous mettrez toutes les chances de votre coté.

Malheureusement, les garants de notre santé ne sont que très peu, voire pas du tout formé à la nutrition et l’alimentation. Ils sont victimes d’un système dont leurs heures de cours dans ce domaines lors de leur cursus complet ne doit même pas excéder une journée. S’ils ne s’informent pas par eux-mêmes, ces notions ne leur sont pas apportées. Et je ne parle même pas de la compréhension de l’origine des maladies due à des sur stress post traumatiques, la compréhension de l’origine des terrains inflammatoires et d’autres éventuels facteurs de cause originelle de maladie. Et je ne rentrerai pas dans les faits prouvés qu’un grand nombre de médicaments sont précurseurs du déclin cognitif (statines, IPP, benzodizépines…). Pensant faire le bien, cette solution occasionne le mal. Il est urgent de réfléchir et de comprendre que le fonctionnement mis en place dans notre société par nos représentants est mortifère. Des solutions existent, alors allons-y. Il en va de notre santé.

Vers une nouvelle approche en santé

Ce qui m’amène à réfléchir sur cette pathologie est que nous sommes aujourd’hui gouverner par une logique de maladie et non une logique de santé (d’ailleurs le ministère de la santé n’en est pas un, c’est un ministère des maladies).
La maladie vient nous révéler un déséquilibre. Reprenons les bases, et reprenons la vraie médecine Hippocratique et remettons de la cohérence dans la logique du vivant. J’ai pour cela écrit un article en 2 parties pour comprendre les sagesses énoncées par Hippocrate il y a plusieurs milliers d’années (https://www.sebastienmoret.com/2024/11/28/les-sagesses-dhippocrate-premiere-partie/ ; https://www.sebastienmoret.com/2024/11/28/les-sagesses-dhippocrate-deuxieme-partie/)

Notre société prend-elle soin de nos ainés (et du reste de sa population) dans les règles du vivant et de la biologie ? Notre société, stressante, est-elle favorable à notre vie ? Nous vivons de plus en plus vieux dans nos sociétés occidentales, mais les instruments mis en place dans cette société moderne ne nous amène-t-il pas vers le déclin cognitif ? Comment se fait-il que cette maladie connait une croissance importante en si peu de temps ? Beaucoup me disent, parce que nous vivons plus vieux. Certes, mais les ainés du passé n’avaient pas ou presque pas ces troubles. Cela est donc la société post guerre qui nous tue à petit feu (augmentation du nombre de cancer, de pathologies auto-immunes, d’infertilité, de maladies cardio vasculaires, obésité…). Nous vivons plus vieux, mais l’espérance de vie en bonne santé, elle, dégringole. Il y a donc un souci.

Pourquoi ?

Le gros changement post guerre est l’avènement du complexe militaro industriel, pharmaceutique et agrochimique. Les pesticides, les engrais de synthèse, la chimie pharmaceutique, les vaccins sont une première chose. La pollution atmosphérique, la pollution des terres, la pollution de l’eau (élément vital à notre vie) sont une deuxième chose. L’éloignement physique et virtuel avec nos semblables en est encore une autre. C’est l’accumulation de plusieurs facteurs qui amène des troubles. Par exemple, nous sommes de plus en plus connecté et pourtant nous sommes de plus en plus seul. Le virtuel ne remplacera jamais notre besoin archaïque de contact. Papi et Mami sont isolés dans leur maison ou dans leur Ehpad (et encore plus quand, pensant les protéger, ces lieux sont fermés à toute visite : pensant faire le bien, le mal est créé).

Prenons exemple :
nos ainés se retrouvent en établissement alors qu’ils ne le souhaitent pas : écroulement de l’existence, SIDÉRATION.
Obliger de s’arrêter au lieu de s’épuiser, j’ai perdu le groupe vital (famille), il faut que je me mette à l’arrêt : conflit du mouton PERTE DE REPÈRE SPATIAL.
Une fois que les êtres aimés sont à la maison de retraite : maintenant que nous sommes là, ils nous disent ne repars pas tout de suite ; et quand nous partons : quand est-ce que tu reviens PERTE DE REPÈRE TEMPOREL.
Il n’y a plus ou très peu de contact, de câlin, avec les êtres aimés car il y a très peu ou trop peu de visites et depuis 5 ans, et les peurs qui ont été mises dans la tête des gens, les ainés ne sont quasiment plus touchés… PERTE DE MÉMOIRE.

Ce n’est qu’un point de vue, mais nous devons modifier notre approche sociale et sociétale. Il est folie de croire au changement en répétant en permanence les mêmes erreurs… Voilà ce que nous enseignait Albert Einstein. Nous sommes dans l’erreur alors changeons, mais changeons à la racine, et non quand le problème est installé.

Changer notre regard et nos actions

Comment faire ?

– Lire les livres de Dale Bredesen (aux éditions Thierry Souccar)
– Informez votre entourage et votre médecin que des solutions réelles et simples à mettre en place existent
Désacidifier votre corps pour augmenter votre capital santé et éviter les maladies
Dépolluer votre eau de boisson
Prenez une alimentation la plus vivante et la plus naturelle possible. Prohibez un maximum de produits issus de l’industrie agro alimentaire (lisez les livres du Professeur Joyeux et du Professeur Jean Seignalet, les ouvrages de Marion Kaplan, et une grande partie de ce que les éditions Thierry Souccar peuvent éditer)
Oeuvrez à réduire vos situations de stress émotionnel : faites vous accompagner par des personnes compétentes qui vous feront œuvrer sur votre chornobiographie et qui pisteront avec vous la cause de vos maladies en allant chercher l’origine du sur stress post traumatique.
Apaisez les situations de conflits avec ceux que vous aimez.
Faites des câlins à vos ainés lorsque vous leur rendez visite. Faites des câlins à tous ceux qui vous entourent et que vous aimez. Allez chercher les contacts et le toucher de ceux que vous aimez. Rapprochez vous des thérapeutes qui touchent, afin de stimuler votre mémoire corporelle par le contact.
Inspirons nous de ceux qui sont soit disant en voie de développement ou sous développé. La technologie nous a appauvri physiquement, psychiquement, mentalement et socialement. Utilisons les outils sans qu’ils ne nous amènent un déséquilibre en santé.

Retournons à ce qui fait la vraie nature de l’être humain : interagir avec ses semblables dans l’amour et l’unité.
Bouchons les trous dans notre toiture virtuelle (exposé par Dale Bredesen) en changeant nos actions et nos comportements qui nous amènent les maladies.
Couper la télé, couper vos écrans, renouer contact dans la joie et la bonne humeur dans des endroits sain et sécuritaire.
Faites une activité physique quotidienne (marcher est déjà une activité).
Remettez du bon sens et écoutez votre coeur.

 

Ma philosophie de travail, mon oeuvre se situe dans le fait de remettre de la cohérence dans la logique du vivant, de remettre la biologie au coeur de la compréhension du fonctionnement du vivant, de comprendre les maladies comme une adaptation face à un sur stress post traumatique (bien évidemment si nous nous empoisonnons physiquement, cela ne fonctionne plus ainsi), comme étant une adaptation dans une notion de survie et non de vie.

Nous avons à ce jour toutes les informations pour être en bonne santé, il s’en va de notre responsabilité de trouver notre équilibre en santé afin de réduire le risque d’apparition de maladies, et quand bien même la maladie arriverait, que viendrait-elle me dire afin que je rectifie mes actions et ma vie afin de retrouver mon équilibre en santé.

Alois Alzheimer a-t-il donné son nom à cette pathologie pour que l’on se souvienne éternellement de lui ? Il n’a pas du voir venir que cette maladie allait devenir une « épidémie sociétale ».
Mais maintenant que nous savons, à nous de changer et d’évoluer pour le salut de ce monde.

Si vous souhaitez comprendre vos maladies et vos troubles avec une autre vision, en lien avec le vivant et la réalité du fonctionnement biologique du corps, alors n’hésitez pas à venir en accompagnement. Osez venir comprendre vos troubles et maladies.

Pour découvrir ma vision globale de la santé et les autres accompagnements que je propose, vous pouvez visiter https://www.sebastienmoret.com/

 

 

Article écrit par Sébastien Moret

Accompagnant en santé

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